En se dotant d’un robot chirurgical da Vinci Xi au sein du bloc opératoire de la Polyclinique Reims-Bezannes, les praticiens Courlancy Santé ne cessent de faire évoluer leurs techniques chirurgicales avec un plateau technique et des équipements de pointe au bénéfice des patients marnais. Si cette technique d’intervention « mini-invasive » est pratiquée au bloc opératoire depuis 15 ans maintenant par les urologues, d’autres spécialistes comme les chirurgiens digestifs ou les gynécologues ont mis récemment en pratique cette technique pour réaliser notamment des procédures simples et complexes. C’est dans le cadre de cette démarche que la Polyclinique Reims-Bezannes a accueilli le Docteur Gaby Moawad, le mardi 11 juin dernier, venu spécialement des Etats-Unis pour former les praticiens Courlancy Santé en particulier les gynécologues.
La chirurgie robotique consiste à opérer la patiente par le biais d’une petite incision sur la zone à traiter dans laquelle s’introduisent les bras robotisés de l’appareil. D’une précision millimétrée, ses bras sont manœuvrés par le chirurgien depuis une console de commandes installée à quelques mètres. L’objectif de cette technique est simple : réduire sensiblement le traumatisme pour le patient et améliorer la qualité des soins par une intervention plus fine et plus précise, améliorant la récupération post-opératoire.
Le chirurgien gynécologue Gaby MOAWAD, installé à Washington aux Etats-Unis, est l’un des experts mondiaux en matière de chirurgie mini-invasive et a été accueilli à la Polyclinique Reims-Bezannes pour un partage d’expériences inédit et la découverte de la Polyclinique Reims-Bezannes, un établissement unique avec une multitude de spécialités.
Au-delà d’une action de formation des équipes de la Polyclinique, l’enjeu de cette visite était la transmission d’un savoir-faire précis et de techniques pouvant contribuer à une meilleure prise en charge des patients marnais.
Près de 450 interventions chirurgicales réalisées au total à la Polyclinique Reims-Bezannes
Pour la seule année 2023, ce sont 450 procédures qui ont pu être réalisées, notamment en chirurgie digestive ou en urologie. Le nombre d’interventions ne va cesser de se développer avec cette technique à mesure que de plus en plus de spécialistes l’adopteront au sein de la Polyclinique.